Le projet s’appuie en outre sur un réseau de scientifiques et de gestionnaires issus d’organismes de recherche (laboratoires universitaires, Ifremer, etc.) et des structures chargées de la mise en place d'un programme de suivi en cas de pollution (DREAL) ou ayant une compétence estuarienne reconnue en tant que gestionnaire/pourvoyeur de données (Groupements d’intérêt public) ou conseiller scientifique (Conseil scientifique d’estuaire).

Le réseau a été défini de façon à disposer d’un panel d’experts suffisamment large pour prendre en compte :

(i) les différentes composantes, faunistiques et floristiques de l’environnement estuarien et

(ii) les diverses approches possibles, écologique et biologique (ex : écotoxicologie/biomarqueurs), tout en recherchant leurs complémentarités.